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Rouge a lèvres en série A, un support a la lutte contre les violences conjugales en Italie

Le football est de loin plus qu’un sport ou une activité sportive. Nous avons mille raisons pour soutenir cette approche. Une usine, une filiale entrepreneuriale, un axe de développement personnel, cognitif et physique, la portée sociopolitique du football a gagné sa place depuis des lustres. Déjà en 1930 après la première finale de coupe du monde entre l’Argentine et l’Uruguay des conflits frontaliers ont été signalés. La référence du 23 mai 1964 est encore plus flagrante avec la recension de 320 morts dues à des émeutes après un match entre le Pérou et l’Argentine. L’une des plus récentes considérations est l’élection à la présidence du Liberia du ballon d’or 1995, George Weah. Par ailleurs, le football a acquis beaucoup de dimension sur le plan social passant par son utilisation en Angleterre pour influencer la discipline et la compétition chez les jeunes, à des footballeurs comme Socrates ayant tenté de lui approprier un côté poétique ou encore à son implication dans les processus de rapprochement social, d’émancipation etc. Ce 24 novembre 2018, pour le compte de la 13 ème journée de la série A, lors des trois rencontres du jour, Juventus-SPAL, Inter- Frosinone, Udinese- Roma; du rouge à lèvres a été remarqué sur la joue de chaque joueur y compris le corps arbitral. C’est un code expressif qui traduit leur support à la lutte contre les violences conjugales en Italie. Les violences conjugales occupent aujourd’hui l’estrade des débats tant dans les medias que dans les sociétés savantes et traversent le monde en longeant les niveaux de développements économique et social. En Italie, les violences conjugales sont d’actualités jusqu’à provoquer une lutte plutôt musclée a leur encontre, laquelle lutte a trouvé un support de plusieurs secteurs. En effet, en 2013, les élections législatives ont accueilli la candidature de Lucia Annibali, une femme qui a été défigurée à l’acide sous les indications de son ex-fiancé. Cette avocate a utilisé la cause des femmes violées et sa capacité à se refaire après ce crime subi pour gagner la sympathie des habitants de Parme et un film a même été tourné sur son histoire. Cependant, l’Italie est loin d’être le leader des actes de violences conjugales avec un taux de 27% contre le Royaume Uni et la France 44%, la Finlande 47% et le Danemark 52%. Cependant cette lutte contre les violences conjugales doit s’émanciper, s’élargir au delà de l’Italie ou de l’Europe où la moyenne est de 33% pour couvrir le globe dans sa totalité. Si les sportifs sont conscients et s’y engagent, les autres secteurs avec de grandes densités humaines et avec des influences sociales très importantes doivent s’impliquer aussi et avec des stratégies de sensibilisations révisées et adaptées. Dans un match de football en Italie de première division, il y a en moyenne 35000 spectateurs, les joueurs sont des stars dont l’influence n’est plus à démontrer, considérons aussi les réseaux sociaux qui corroborent cette assise sociale qu’ils jouissent. Si aujourd’hui des footballeurs comme Cristiano Ronaldo ou encore Mario Mandzukic, Paolo Dybala s’immiscent dans cette lutte contre cette attitude déraisonnée et antisociale, les résultats sont supposés êtres satisfaisants dans la perspective que les initiateurs se sont inscrits. Le feminicide qui désigne toute forme de violence extrême faite contre les femmes est aujourd’hui un crime puni par la loi en Italie, ce pays a été le 5eme à ratifier la convention d’Istanbul sur la prévention et la lutte contre les violences à l’égard des femmes. L’engagement des responsables de la série A dans la lutte contre les violences conjugales n’est pas à sa première. L’année dernière lors du choc opposant le Napoli à la Juventus de Turin, la marque rouge était portée au visage de tous les joueurs et de certains supporters qui ont imité le geste. Ceci rentrait dans le cadre de la sensibilisation contre les violences faites aux femmes, relevée de l’initiative d’une organisation humanitaire italienne We world Onlus et de la série A. Certains joueurs comme Ciro Immobile et Marek Hamsick accompagnés de leurs femmes s’affichèrent avec la marque rouge au visage sur les réseaux sociaux. Si la lutte s’avère difficile, le sport plus précisément le football en Italie a posé et pose encore sa pierre dans la quête de ce changement de mentalité, de comportement et par là forcer les dirigeants à adopter des politiques, à voter des lois pouvant mieux appréhender le problème. A l’instar des violences conjugales et des autres secteurs de la vie quotidienne, il est tout aussi nécessaire aux sportifs de jouer leur influence, de tourner les regards ou de s’accentuer sur des autres crises sociales beaucoup trop flagrantes en plein 21eme siècle comme la faim, l’immigration massive, la guerre , les exploitations abusives des masses, les inégalités sociales, le racisme etc. Du rouge à lèvres sur la joue des footballeurs, un appel vif à la conscientisation !Rouge a lèvres en série A, un support a la lute contre les violences conjugales en Italie Le football est de loin plus qu’un sport ou une activité sportive. Nous avons mille raisons pour soutenir cette approche. Une usine, une filiale entrepreneuriale, un axe de développement personnel, cognitif et physique, la portée sociopolitique du football a gagné sa place depuis des lustres. Déjà en 1930 après la première finale de coupe du monde entre l’Argentine et l’Uruguay des conflits frontaliers ont été signalés. La référence du 23 mai 1964 est encore plus flagrante avec la recension de 320 morts dues à des émeutes après un match entre le Pérou et l’Argentine. L’une des plus récentes considérations est l’élection à la présidence du Liberia du ballon d’or 1995, George Weah. Par ailleurs, le football a acquis beaucoup de dimension sur le plan social passant par son utilisation en Angleterre pour influencer la discipline et la compétition chez les jeunes, à des footballeurs comme Socrates ayant tenté de lui approprier un côté poétique ou encore à son implication dans les processus de rapprochement social, d’émancipation etc. Ce 24 novembre 2018, pour le compte de la 13 ème journée de la série A, lors des trois rencontres du jour, Juventus-SPAL, Inter- Frosinone, Udinese- Roma; du rouge à lèvres a été remarqué sur la joue de chaque joueur y compris le corps arbitral. C’est un code expressif qui traduit leur support à la lutte contre les violences conjugales en Italie. Les violences conjugales occupent aujourd’hui l’estrade des débats tant dans les medias que dans les sociétés savantes et traversent le monde en longeant les niveaux de développements économique et social. En Italie, les violences conjugales sont d’actualités jusqu’à provoquer une lutte plutôt musclée a leur encontre, laquelle lutte a trouvé un support de plusieurs secteurs. En effet, en 2013, les élections législatives ont accueilli la candidature de Lucia Annibali, une femme qui a été défigurée à l’acide sous les indications de son ex-fiancé. Cette avocate a utilisé la cause des femmes violées et sa capacité à se refaire après ce crime subi pour gagner la sympathie des habitants de Parme et un film a même été tourné sur son histoire. Cependant, l’Italie est loin d’être le leader des actes de violences conjugales avec un taux de 27% contre le Royaume Uni et la France 44%, la Finlande 47% et le Danemark 52%. Cependant cette lutte contre les violences conjugales doit s’émanciper, s’élargir au delà de l’Italie ou de l’Europe où la moyenne est de 33% pour couvrir le globe dans sa totalité. Si les sportifs sont conscients et s’y engagent, les autres secteurs avec de grandes densités humaines et avec des influences sociales très importantes doivent s’impliquer aussi et avec des stratégies de sensibilisations révisées et adaptées. Dans un match de football en Italie de première division, il y a en moyenne 35000 spectateurs, les joueurs sont des stars dont l’influence n’est plus à démontrer, considérons aussi les réseaux sociaux qui corroborent cette assise sociale qu’ils jouissent. Si aujourd’hui des footballeurs comme Cristiano Ronaldo ou encore Mario Mandzukic, Paolo Dybala s’immiscent dans cette lutte contre cette attitude déraisonnée et antisociale, les résultats sont supposés êtres satisfaisants dans la perspective que les initiateurs se sont inscrits. Le feminicide qui désigne toute forme de violence extrême faite contre les femmes est aujourd’hui un crime puni par la loi en Italie, ce pays a été le 5eme à ratifier la convention d’Istanbul sur la prévention et la lutte contre les violences à l’égard des femmes. L’engagement des responsables de la série A dans la lutte contre les violences conjugales n’est pas à sa première. L’année dernière lors du choc opposant le Napoli à la Juventus de Turin, la marque rouge était portée au visage de tous les joueurs et de certains supporters qui ont imité le geste. Ceci rentrait dans le cadre de la sensibilisation contre les violences faites aux femmes, relevée de l’initiative d’une organisation humanitaire italienne We world Onlus et de la série A. Certains joueurs comme Ciro Immobile et Marek Hamsick accompagnés de leurs femmes s’affichèrent avec la marque rouge au visage sur les réseaux sociaux. Si la lutte s’avère difficile, le sport plus précisément le football en Italie a posé et pose encore sa pierre dans la quête de ce changement de mentalité, de comportement et par là forcer les dirigeants à adopter des politiques, à voter des lois pouvant mieux appréhender le problème. A l’instar des violences conjugales et des autres secteurs de la vie quotidienne, il est tout aussi nécessaire aux sportifs de jouer leur influence, de tourner les regards ou de s’accentuer sur des autres crises sociales beaucoup trop flagrantes en plein 21eme siècle comme la faim, l’immigration massive, la guerre , les exploitations abusives des masses, les inégalités sociales, le racisme etc. Du rouge à lèvres sur la joue des footballeurs, un appel vif à la conscientisation !Rouge a lèvres en série A, un support a la lute contre les violences conjugales en Italie Le football est de loin plus qu’un sport ou une activité sportive. Nous avons mille raisons pour soutenir cette approche. Une usine, une filiale entrepreneuriale, un axe de développement personnel, cognitif et physique, la portée sociopolitique du football a gagné sa place depuis des lustres. Déjà en 1930 après la première finale de coupe du monde entre l’Argentine et l’Uruguay des conflits frontaliers ont été signalés. La référence du 23 mai 1964 est encore plus flagrante avec la recension de 320 morts dues à des émeutes après un match entre le Pérou et l’Argentine. L’une des plus récentes considérations est l’élection à la présidence du Liberia du ballon d’or 1995, George Weah. Par ailleurs, le football a acquis beaucoup de dimension sur le plan social passant par son utilisation en Angleterre pour influencer la discipline et la compétition chez les jeunes, à des footballeurs comme Socrates ayant tenté de lui approprier un côté poétique ou encore à son implication dans les processus de rapprochement social, d’émancipation etc. Ce 24 novembre 2018, pour le compte de la 13 ème journée de la série A, lors des trois rencontres du jour, Juventus-SPAL, Inter- Frosinone, Udinese- Roma; du rouge à lèvres a été remarqué sur la joue de chaque joueur y compris le corps arbitral. C’est un code expressif qui traduit leur support à la lutte contre les violences conjugales en Italie. Les violences conjugales occupent aujourd’hui l’estrade des débats tant dans les medias que dans les sociétés savantes et traversent le monde en longeant les niveaux de développements économique et social. En Italie, les violences conjugales sont d’actualités jusqu’à provoquer une lutte plutôt musclée a leur encontre, laquelle lutte a trouvé un support de plusieurs secteurs. En effet, en 2013, les élections législatives ont accueilli la candidature de Lucia Annibali, une femme qui a été défigurée à l’acide sous les indications de son ex-fiancé. Cette avocate a utilisé la cause des femmes violées et sa capacité à se refaire après ce crime subi pour gagner la sympathie des habitants de Parme et un film a même été tourné sur son histoire. Cependant, l’Italie est loin d’être le leader des actes de violences conjugales avec un taux de 27% contre le Royaume Uni et la France 44%, la Finlande 47% et le Danemark 52%. Cependant cette lutte contre les violences conjugales doit s’émanciper, s’élargir au delà de l’Italie ou de l’Europe où la moyenne est de 33% pour couvrir le globe dans sa totalité. Si les sportifs sont conscients et s’y engagent, les autres secteurs avec de grandes densités humaines et avec des influences sociales très importantes doivent s’impliquer aussi et avec des stratégies de sensibilisations révisées et adaptées. Dans un match de football en Italie de première division, il y a en moyenne 35000 spectateurs, les joueurs sont des stars dont l’influence n’est plus à démontrer, considérons aussi les réseaux sociaux qui corroborent cette assise sociale qu’ils jouissent. Si aujourd’hui des footballeurs comme Cristiano Ronaldo ou encore Mario Mandzukic, Paolo Dybala s’immiscent dans cette lutte contre cette attitude déraisonnée et antisociale, les résultats sont supposés êtres satisfaisants dans la perspective que les initiateurs se sont inscrits. Le feminicide qui désigne toute forme de violence extrême faite contre les femmes est aujourd’hui un crime puni par la loi en Italie, ce pays a été le 5eme à ratifier la convention d’Istanbul sur la prévention et la lutte contre les violences à l’égard des femmes. L’engagement des responsables de la série A dans la lutte contre les violences conjugales n’est pas à sa première. L’année dernière lors du choc opposant le Napoli à la Juventus de Turin, la marque rouge était portée au visage de tous les joueurs et de certains supporters qui ont imité le geste. Ceci rentrait dans le cadre de la sensibilisation contre les violences faites aux femmes, relevée de l’initiative d’une organisation humanitaire italienne We world Onlus et de la série A. Certains joueurs comme Ciro Immobile et Marek Hamsick accompagnés de leurs femmes s’affichèrent avec la marque rouge au visage sur les réseaux sociaux. Si la lutte s’avère difficile, le sport plus précisément le football en Italie a posé et pose encore sa pierre dans la quête de ce changement de mentalité, de comportement et par là forcer les dirigeants à adopter des politiques, à voter des lois pouvant mieux appréhender le problème. A l’instar des violences conjugales et des autres secteurs de la vie quotidienne, il est tout aussi nécessaire aux sportifs de jouer leur influence, de tourner les regards ou de s’accentuer sur des autres crises sociales beaucoup trop flagrantes en plein 21eme siècle comme la faim, l’immigration massive, la guerre , les exploitations abusives des masses, les inégalités sociales, le racisme etc. Du rouge à lèvres sur la joue des footballeurs, un appel vif à la conscientisation !

Bead Charlemagne CHARLORIN, Aïefoot

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